plus tôt dans la journée, le camp de Nick Diaz a fait la une des journaux faisant valoir que la compensation du Québec a inauguré leurs directives concernant les pesées en permettant un poids jusqu’à 170,9 livres Pour être arrondi à 170. Cela a été évidemment révélé peu de temps avant l’évaluation organisée en préjugeant probablement un concurrent qui a inutilement réduit une livre supplémentaire. Le deuxième problème a augmenté associé au test de médicaments de lutte de publication du GSP, faisant valoir qu’il n’était pas correctement supervisé. Bien que ces allégations, si elles sont vraies, peignent la Commission du Québec sous un mauvais jour, elles feront probablement beaucoup plus que cela.
Il y a deux points qui me viennent à l’esprit. Premièrement, avec la pesée dans la controverse, la politique du Québec concernant les sports de bataille est silencieuse sur la façon dont les décimales doivent être traitées. Une modification législative est peut-être nécessaire, mais absente la clarté législative, cela semble être une question de pouvoir discrétion combattants dans un combat. L’article 168 (7) spécifie que le contrat du combattant devrait spécifier «le poids maximum que le concurrent devrait accomplir lors de la pesée officielle». Cela suggère fortement que la mesure du poids contraignant convenu par les combattants sera reportée à l’exercice des pouvoirs de la Commission. Cela dit, s’il existe des preuves d’incohérence dans l’application de ce pouvoir discrétionnaire d’un événement à l’événement, c’est un mauvais jugement de la part de la Commission. Pire encore, cependant, il semble que l’utilisation des décimales était une décision «hors du dossier» qui peut franchement délégitimer cette utilisation du pouvoir discrétionnaire.
Deuxièmement, en ce qui concerne les allégations selon lesquelles le test de médicament de lutte publié par le GSP n’était pas correctement supervisé, je censais travailler pour voir exactement comment un traitement juridique peut se produire à partir de cette seule surveillance. Si cette allégation est vraie, elle montre certainement mal à la commission, cependant, les procédures de test de médicament sont là pour lier les athlètes, pas la commission. Les politiques concernant la fonction ainsi que la capacité de soumettre les combattants aux tests de médicaments se lit comme suit:
71.1. Une personne Maillots Atletico Mineiro autorisée par le président du conseil d’administration en vertu de l’article 46.2.2 de la Loi concernant la sécurité dans les sports (chapitre S-3.1) ainsi que désigné pour prélever des échantillons d’urine peuvent prélever des échantillons d’urine d’un concurrent jusqu’à 3 heures auparavant également Comme 6 heures après un combat.
La prise d’échantillons vise à déterminer si un concurrent ayant Maillots Équipe du Costa Rica de football participé à un événement Sports Battle a pris une substance, au-delà de la quantité autorisée, apparaissant sur la liste des substances interdites ainsi que les techniques interdites contenues dans le mouvement olympique anti- Doping Code publié par le Worldwide Olympic Committee (CIO) dont le siège social se trouve à Château de Vidy, 1007 Lausanne, Suisse, disponible via l’adresse électronique (), comme il se lit à la date de l’échantillonnage.
Ces exigences sont fixées pour garantir l’intégrité du processus de test pour prévenir les abus des combattants. Ceci est expressément énoncé est s. 71.1. Ceci, associé à la vérité que l’autorité de tester est clairement discrétionnaire («peut prendre des échantillons d’urine») laissera probablement le grief de Nick Diaz sans traitement sur cette question.
Ce débat récent me rappelle les murmures que le camp de Chael Sonnen se conforme à sa deuxième défaite contre Anderson Silva alléguant une «faute prévue». Un grief qui peut produire des titres, mais probablement pas un remède légal. Cela étant dit, ce débat a définitivement brillé un projecteur bien nécessaire sur les bouffonneries de la compensation du Québec, ainsi qu’il semble exiger Maillots FC Porto de nettoyer leur acte. Espérons que toute la lumière que le camp Diaz brille sur les pitreries de la Commission québécoise entraînera évidemment une désinfection indispensable.
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